ça y est ça marche! Mais pas toujours bien en plein écran. Pfff... je retenterai une lecture en soirée ;-) (pardon d'avoir bouffé deux comms pour rien finalement...)
En tous les cas, chez moi, ça fonctionne beaucoup mieux passé 22H. Je pense qu'il s'agit d'une question de débit :o) A ce propos, le tien de débit m'a bien plu dans ce long poème. Le poème aussi. Très nostalgique. Ce mélange des sentiments à la nature qui semble impassible comme si elle n'était pas affectée, ou bien contemplatrice... Le titre doit être en belge ou en wallon... Ne m'oublie pas ? Tu dis en début "ne m'oublie pas parce que je t'aime"...Il me manque un bout ;-)
oh ! feuilleter presque pour de vrai un livre sur son écran... c'est drôle ! ... je n'ai pas le temps de lire aujourd'hui... je reviendrai. ça à l'air très beau ! et quelle belle présentation vraiment !!! bise
Un beau poème qui telle la légende du myosotis (forget-me-not) nous laisse un parfum de nostalgie. Un texte qui touche et qui laisse entre les lignes un sentiment d'impuissance mais aussi d'espoir.
Quel talent ..ainsi présenté c' est un joli cadeau... J' aime : "L' amour seul peut emplir , combler l' éternité . L' avenir est au coeur bien plus qu' aux esprits ...." Si c' était vrai...? Tendresse à toi
Je me réjouis d'aimer, même si en retour la même indifférence est là.
Aimer, c'est déjà ça, c'est être vivant, c'est mieux que rien.
Cela ne fait pas de sens de souffrir de l'indifférence de l'autre, car on ne peut pas le téléguider ou le forcer, on ne peut pas souhaiter prendre le contrôle de sa volonté par un philtre ou un subterfuge, si ?
On peut aussi envisager la vie qui n'aurait pas croisé le chemin de l'autre : elle eût été encore plus triste. Je suis ravi de l'avoir connue, même si elle m'a jeté après usage.
On peut juste trouver que c'est dommage pour l'autre, de ne pas vouloir de nous qui sommes des personnes tellement extraordinaires :)
Et puis l'amour est une envie, pas un besoin. Si c'est aussi fort qu'un besoin, c'est qu'il nous reste une plaie à guérir. Car personne n'est responsable de notre malheur, personne ne peut nous faire vivre. Si il nous manque quelque chose à vivre seul(e), ce n'est donc la faute de personne d'autre que nous. Il faut en profiter pour aller au fond de cette introspection douloureuse où on retrouve souvent l'abandon primal de nos sociétés violentes.
PS:Sympa calaméo au passage, je ne connaissais pas !
comme j'ai du mal à atteindre tes comms... le parcours .. de la combattante :-)
mais je voulais tant venir te dire bonjour après mon été fort chargé
j'ai repris tes posts en arrière, avec délices, tu écris comme j'aime et c'est un plaisir pour moi, merci d'être venue chez moi avant tout, tisser peu à peu ces liens qui tiennent chaud au cœur je n'arrive pas pour l’instant à lire le contenu de ce post mais je m'acharnerai beau WE à toi et bisous
En tout cas moi je ne vous oublie pas ! Merci aux yeux bienveillants. Laurent, je te la présenterai bien cette "pouettesse" mais hélas à chaque mot qui passe elle n'est déjà plus tout à fait la même... mais ça lui plairait de partager un café... ;)
Vers vous une envolée de pensées senteur myosotis des marais !
calaméo ai rien compris... J'ai vu que des pages blanches qui tournaient. Il y avait un trait bleu en plein milieu. De la poésie moderne ?
RépondreSupprimer;-)
ça y est ça marche! Mais pas toujours bien en plein écran. Pfff... je retenterai une lecture en soirée ;-) (pardon d'avoir bouffé deux comms pour rien finalement...)
RépondreSupprimerc'est rien on dirait que je fais de l’audience ! ;)
RépondreSupprimerEn tous les cas, chez moi, ça fonctionne beaucoup mieux passé 22H. Je pense qu'il s'agit d'une question de débit :o)
RépondreSupprimerA ce propos, le tien de débit m'a bien plu dans ce long poème. Le poème aussi. Très nostalgique. Ce mélange des sentiments à la nature qui semble impassible comme si elle n'était pas affectée, ou bien contemplatrice...
Le titre doit être en belge ou en wallon... Ne m'oublie pas ? Tu dis en début "ne m'oublie pas parce que je t'aime"...Il me manque un bout ;-)
Merci de nous avoir permis de lire jusqu'au bout, au but thym, au début temps aussi...
RépondreSupprimerje me le garde comme une sucrerie... je reviendrai pour l'apprécier !
RépondreSupprimerJ'aimerai bien voir la personne en vrai qui a écrit ce recueil.
RépondreSupprimeroh ! feuilleter presque pour de vrai un livre sur son écran... c'est drôle ! ... je n'ai pas le temps de lire aujourd'hui... je reviendrai.
RépondreSupprimerça à l'air très beau ! et quelle belle présentation vraiment !!! bise
Merci de nous faire ce cadeau au long terme.
RépondreSupprimerQuelle facilité d'écriture.
Merci. Je reviendrai lire goutte à goutte bien sûr.
Un beau poème qui telle la légende du myosotis (forget-me-not) nous laisse un parfum de nostalgie. Un texte qui touche et qui laisse entre les lignes un sentiment d'impuissance mais aussi d'espoir.
RépondreSupprimerJ'ai lu jusqu'au bout: ça coule de source.
RépondreSupprimerj'ai lu jusqu'au bout cette belle envolée nostalgique... c'est comme une chanson de troubadour, un rythme lent, voire langoureux, prenant.
RépondreSupprimerQuel talent ..ainsi présenté c' est un joli cadeau...
RépondreSupprimerJ' aime :
"L' amour seul peut emplir , combler l' éternité .
L' avenir est au coeur bien plus qu' aux esprits ...."
Si c' était vrai...?
Tendresse à toi
Je me réjouis d'aimer, même si en retour la même indifférence est là.
RépondreSupprimerAimer, c'est déjà ça, c'est être vivant, c'est mieux que rien.
Cela ne fait pas de sens de souffrir de l'indifférence de l'autre, car on ne peut pas le téléguider ou le forcer, on ne peut pas souhaiter prendre le contrôle de sa volonté par un philtre ou un subterfuge, si ?
On peut aussi envisager la vie qui n'aurait pas croisé le chemin de l'autre : elle eût été encore plus triste. Je suis ravi de l'avoir connue, même si elle m'a jeté après usage.
On peut juste trouver que c'est dommage pour l'autre, de ne pas vouloir de nous qui sommes des personnes tellement extraordinaires :)
Et puis l'amour est une envie, pas un besoin. Si c'est aussi fort qu'un besoin, c'est qu'il nous reste une plaie à guérir. Car personne n'est responsable de notre malheur, personne ne peut nous faire vivre. Si il nous manque quelque chose à vivre seul(e), ce n'est donc la faute de personne d'autre que nous. Il faut en profiter pour aller au fond de cette introspection douloureuse où on retrouve souvent l'abandon primal de nos sociétés violentes.
PS:Sympa calaméo au passage, je ne connaissais pas !
bonjour LH
RépondreSupprimercomme j'ai du mal à atteindre tes comms... le parcours .. de la combattante :-)
mais je voulais tant venir te dire bonjour après mon été fort chargé
j'ai repris tes posts en arrière, avec délices, tu écris comme j'aime et c'est un plaisir pour moi, merci d'être venue chez moi avant tout, tisser peu à peu ces liens qui tiennent chaud au cœur
je n'arrive pas pour l’instant à lire le contenu de ce post mais je m'acharnerai
beau WE à toi et bisous
En tout cas moi je ne vous oublie pas ! Merci aux yeux bienveillants.
RépondreSupprimerLaurent, je te la présenterai bien cette "pouettesse" mais hélas à chaque mot qui passe elle n'est déjà plus tout à fait la même... mais ça lui plairait de partager un café... ;)
Vers vous une envolée de pensées senteur myosotis des marais !